Gustine et Valoy explorent l'intime des relations femme-homme dans un projet d'écriture spontanée, poétique et musicale prenant la forme d'un dialogue, pour (tenter de) répondre à quelques questions autant essentielles qu'existentielles, dans un dispositif en miroir : j'écris ce que tu me chantes, j'enchante ce que tu décris... Ce que tu décries.